Quand je pense à mon père, la première image qui me vient en tête, c’est son sourire. Juste après, j’entends son petit rire, celui qui l’accompagnait presque toujours. Mon père—Alvin Rehberg, ou « Big Al » pour ses amis—était un homme imposant, un grand gaillard de six pieds trois pouces. Mais pour moi, il était surtout une présence rassurante, un refuge. Il aimait ses filles—ma petite sœur Hayley et moi—plus que tout, et je n’ai jamais douté une seconde qu’il serait toujours là pour nous.