Impliquez-vous!
Il existe plusieurs façon de vous impliquer. Changez la vie de patients et de leurs familles.
Notre ambassadeur de la Marche des tumeurs cérébrales d’Edmonton 2025.
Quel impact les tumeurs cérébrales ont-elles eu sur vous?
En 2014, j’étais en vacances avec une amie au Panama lorsque j’ai subi une crise tonico-clonique (grand mal). C’est là-bas que j’ai entendu pour la première fois les mots : « Vous avez une tumeur au cerveau. »
J’ai été rapatriée médicalement au Canada et transportée directement à l’Hôpital de l’Université de l’Alberta. C’est là que j’ai rencontré mon neurochirurgien et qu’un plan de traitement a été établi.
Trois mois plus tard, j’ai subi une craniotomie, suivie d’une chimiothérapie et d’une radiothérapie.
Si mon parcours s’est déroulé relativement bien jusqu’à ce point, c’est grâce à la force et à l’engagement de mes proches, qui ont été de véritables défenseurs pour moi. Je ne pourrai jamais assez les remercier.
Comment êtes-vous devenue impliquée auprès de la Fondation canadienne des tumeurs cérébrales?
Peu après mon diagnostic, ma sœur (qui est infirmière autorisée) avait déjà trouvé la Fondation, et le guide m’était déjà envoyé. Je l’ai lu d’un bout à l’autre et je l’ai partagé avec mes proches.
À l’époque, mon fils Nathan avait neuf ans, et ma fille Ruby, cinq. Le livre pour enfants L’histoire d’Espoir, fourni par la Fondation, a été une véritable bouée de sauvetage. Il m’a aidée à avoir une conversation incroyablement difficile avec mes enfants.
J’ai commencé à participer au groupe de soutien pour adultes à Edmonton, accompagné de mon mari, chaque mois. C’est là que j’ai rencontré — et malheureusement perdu — de nombreux nouveaux amis.
Joe, Christina et Victoria, vous serez toujours dans mon cœur.
Comment et quand avez-vous participé aux Marches des tumeurs cérébrales par le passé? Et comment y participerez-vous cette année?
En 2015, mon équipe, les Tumour-nators, a amassé 24 353 $.
C’était ma toute première Marche, et on m’avait demandé de raconter mon histoire. Et, les larmes aux yeux, je l’ai fait.
Par la suite, j’ai non seulement assisté à la Marche, mais j’ai aussi été bénévole à titre de coordonnatrice de la Marche d’Edmonton à plusieurs reprises.
2025 marquera ma cinquième participation au sein du comité organisateur.
J’ai également eu la chance de participer à la Marche de Yellowknife en 2019, aux côtés de mon cher ami Matt, bénévole et survivant d’une tumeur cérébrale. Il est malheureusement décédé d’un astrocytome en 2020.
Pourquoi avez-vous choisi de vous joindre au comité organisateur de la Marche?
Ici, au Canada, j’ai reçu d’excellents soins. Je me suis sentie entièrement soutenue par mes amis, ma famille et la Fondation. J’ai eu la chance d’avoir un bon pronostic, et je sais que ce n’est pas le cas pour tout le monde.
Les fonds recueillis pour la recherche et les services de soutien sont ESSENTIELS — ils ont joué un rôle crucial dans mon parcours.
Je suis en mesure d’aider la communauté touchée par les tumeurs cérébrales, alors je le fais.
Pourquoi encourageriez-vous les autres à participer à la Marche des tumeurs cérébrales?
Rien ne remplace le fait d’être entouré de gens qui comprennent vraiment. En ce sens, la Marche des tumeurs cérébrales est une expérience unique. En plus, le soutien que l’on ressent ce jour-là est tangible.
C’est un moment incroyablement porteur et réconfortant.